Le réseau électrique domestique et les appareils électriques, électroniques et informatiques produisent des champs électromagnétiques susceptibles d’influencer le complexe biologique si celui-ci se trouve dans leur champ de rayonnement.
L’organisme humain émet de façon naturelle des micro-champs électromagnétiques. Par exemple, les fréquences émises par le cerveau sont de l’ordre de 4 à 20 « vibrations » par seconde (4 à 20 Hertz), celles du cœur entre 1 à 2 Hz, les ions calcium 35 Hz (en rotation). Or, l’électricité domestique émet un signal alternatif de 50 Hz, donc proche de ces fréquences naturelles présentes dans notre corps. Cette similitude peut créer des phénomènes de résonance, et engendrer des « désordres biologiques » : une perturbation de l’ion calcium peut provoquer des dérèglements hormonaux ; une perturbation de la production de l’hormone mélatonine peut provoquer des troubles du sommeil, etc.
De plus, notre corps est composé de molécules, elles-mêmes constituées d'atomes. Les molécules sont les plus petits éléments vivants de notre corps. Elles sont tenues par des champs électromagnétiques naturels et adoptent une configuration dans l'espace sous leur influence. Cette forme est primordiale à leur fonctionnement !
Les champs électriques et magnétiques artificiels induisent dans l'organisme des courants électriques susceptibles d'interférer avec ces molécules de notre organisme et provoquer également des effets biologiques.
Ces rayonnements conduisent progressivement à une érosion de notre « capital-onde » jusqu’à l’apparition des premiers symptômes sans avoir encore envisagé que la cause pouvait être liée à la pollution électromagnétique de notre environnement quotidien.
Le niveau de risque dépend de l'intensité du champ, du temps d'exposition, de la sensibilité des personnes exposées et du moment de l'exposition. Il est donc indispensable de réduire au maximum son exposition aux champs électromagnétiques dans son lieu d’habitation et surtout durant la période de sommeil pendant laquelle nous sommes davantage vulnérables.
Nombre de personnes ne ressentent aucune gêne, ce qui n’en est pas moins dommageable, car ce n’est pas parce que l’on ne ressent encore rien qu’il ne se passe rien dans notre corps.